Participation en tant que psychologue sur une émission dédiée aux jeunes et l’amour.
Je suis interviewée à 50 minutes de l’émission.

Participation en tant que psychologue sur une émission dédiée aux jeunes et l’amour.
Je suis interviewée à 50 minutes de l’émission.
“Sur le papier, c’est une rupture comme une autre, sauf que l’on part de beaucoup plus loin, notamment parce que la personne n’a jamais eu l’occasion d’expérimenter autre chose que les fonctions qui la définissaient”, élabore Véronique Kohn, psychologue spécialiste des relations amoureuses.
D’ailleurs, quand elle se présente, Michèle parle de sa maternité et de son mariage passé. Elle a été “la femme de” et “la mère de”. Depuis six ans, elle est “juste Michèle”, et a beaucoup de mal avec cette nouvelle étiquette.
“Dans ce cas, la personne s’est perdue et ne se connaît pas. Elle s’est donnée des missions et y a fait reposer son bonheur et sa valeur. C’est donc normal que la perspective d’une nouvelle vie soit effrayante, parce que l’on n’a plus de repère”, explicite l’experte.
Incompréhensions, disputes, éloignement, tromperie…. Les motifs de rupture sont aussi multiples, que les histoires d’amour sont uniques.
Si la fin des relations a souvent été observée, documentée et analysée, les prémices du déchirement, moins. Pourtant, arrive toujours un moment où au moins l’un des deux composants du couple se pose la question fatidique : “est-ce qu’on devrait rompre ?”.
Cette fatidique interrogation signe-t-elle forcément la fin de l’histoire d’amour ? Véronique Kohn, psychologue spécialiste des relations amoureuses, nous dit si, oui ou non, se poser la question de rompre est la première étape vers la rupture réelle.
Le 14 février dernier, Kanye West faisait livrer à son ex-femme Kim Kardashian un 4×4 rempli de roses pour la Saint Valentin. Pourtant, les deux Américains sont officiellement divorcés et la mère de trois enfants a refait sa vie. Dérangeant, non ?
Érigé comme un geste romantique de reconquête – pas merci la téléréalité – le comportement de l’ex collant est, quand on y regarde de plus près, nettement plus inquiétant que séduisant. Des actions qui attestent d’une certaine obsession et d’un désir de garder le contrôle sur celle/celui qui part, sont loin d’être des preuves d’amour.
“Voilà un an que je me suis séparée de mon ex-copain, bien que je l’ai bloqué sur tous les réseaux et par téléphone, il continue à m’envoyer des mails presque tous les jours. Certains sont des lettres d’amour, d’autres des déferlements de haine”, confie Marina*, 25 ans.
Si vivre avec un chewing-gum collé sous sa chaussure peut nous empêcher d’avancer, dans certains cas, cela peut même se révéler dangereux.
A l’approche de la Saint-Valentin, nombreux sont ceux qui aimeraient que Cupidon décoche une flèche pour les aider à trouver la personne qui fera battre leur cœur. Et parce qu’il n’y a pas d’âge pour souffrir du célibat, des applis ont vu le jour spécifiquement pour les plus de 50 ans en quête d’amour, à l’instar de Disons Demain, Lumen ou encore Club 50 Plus. Et quel que soit son âge, plans galères et belles surprises peuvent être au rendez-vous.
Alors, des applis pour quinquas et plus, pour quoi faire ? Pourquoi ne pas se contenter des – très nombreuses – applis déjà existantes ? Parce qu’il y a un marché à conquérir pardi ! Avec plus de neuf millions de célibataires de plus de 50 ans rien qu’en France, ce n’était qu’une question de temps avant que des esprits entrepreneurs ne s’emparent de cette niche pour en faire un business florissant.
Participation en tant que psychologue sur une émission dédiée aux routiers.
Bardée de clichés, la rupture est souvent réduite à une simple soirée où il est commun de pleurer en chantant des chansons tristes, un pot de glace dans une main et un paquet de mouchoirs XXL dans l’autre. Pas merci la pop culture.
Pourtant, derrière la fin d’une relation amoureuse se dissimule une blessure narcissique plus ou moins profonde, dont le pansage ne doit pas être négligé, si l’on veut garder un rapport sain à l’amour.
“La rupture, c’est un deuil, il faut donc lui accorder du temps”, prévient Catherine Demangeot, thérapeute de couple. Et si pour certain.es ce deuil est relativement rapide, pour d’autres, c’est une déconstruction du rêve romantique qu’il faut entreprendre.
“Souvent les personnes n’ont pas confiance en elles et pensent qu’elles ont perdu l’amour de leur vie et qu’on ne les aimera jamais plus, indique Véronique Kohn, psychologue spécialisée dans les relations amoureuses, ces personnes ont souvent peu de ressources stables, c’est-à-dire des amis ou une famille sur qui elles peuvent compter”.
Participation en tant que psychologue des polyamoureux sur M6 le 15 mars 2022
le reportage commence à 46 minutes et dure 10 minutes.
Messages par centaines, chocolats, bouquets de fleurs et cadeaux à gogo… Si vous connaissez ces débuts de relation dissimulés sous une montagne d’attentions, vous avez peut-être déjà été victime de love bombing.
Cette technique de manipulation, personnifiée récemment à l’écran par Simon Leviev, l’arnaqueur de Tinder et maître en la matière, est caractéristique des personnalités les plus perverses.
Cousin du ghosting et autres zombieing, le terme a été relié aux relations amoureuses par Dale Archer, un psychiatre américain, dans un article pour Psychology Today publié en mars 2017. Le professeur le définit comme “une tentative d’influencer une autre personne avec des démonstrations exagérées d’attention et d’affection”.
Un “bombardement d’amour” qui permet à celui ou celle qui de garder son ou sa partenaire au creux de sa main, pour mieux la manipuler.
Éclairages avec deux spécialistes de l’amour : Catherine Demangeot*, thérapeute de couple et Véronique Kohn, psychologue spécialisée dans les relations amoureuses.
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